<v45h>
Il va falloir que j'en lise un peu plus, je comprend pas complétement à quoi sert niv ^^"
<v45h>
ah, j'ai trouvé la section usage
* julm
est très content d'être passé à flake.nix
<v45h>
ah oui ? Plus mieux ?
<julm>
v45h: je ne peux que t'encourager à réessayer, ya de bonnes chances pour que #nixos-fr puisse t'aider à surmonter le "manque" de documentations/exemples
<julm>
je n'ai jamais eu besoin d'utiliser niv, donc je ne pourrais pas te dire
<julm>
je me débrouille avec un flake.nix et un .envrc (pour direnv)
<v45h>
En soit, j'ai pas d'un truc trop simple à utiliser, mais plutot un truc qui fonctionne correctement
<julm>
pour mon usage relativement amateur, flake.nix est suffisamment mature
<v45h>
Tant qu'on peut fetch et appeller une build-chaine sous linux ou macos, ca me convient
<v45h>
me manque juste que Windows, mais osef de windows, ca sera fait salement
<{^_^}>
target/lorri#460 (by matthuszagh, 40 weeks ago, open): Does lorri work with nix flakes?
<symphorien[m]>
non maintenant le repo est sur nix-community
<symphorien[m]>
celui de target est plus maintenu
<julm>
ah
<julm>
m'enfin, je suis assez réticent à me rajouter des outils
<julm>
faut une bonne valeur ajouté je veux dire
<v45h>
julm: utilise juste emacs... ca ne fait qu'un outil
<julm>
là trois lignes de nix dans .envrc c pas la mort
<julm>
v45h: j'ai essayé pendant plusieurs semaines emacs, mais je suis revenu à vim au final
<symphorien[m]>
là où lorri devient puissant c'est quand on développe à la fois un outil foo et un de ses dépendances libbar. lorri détecte que des trucs on changé dans libbar et il recompile/change l'environnement du shell de foo
<symphorien[m]>
de manière transparente
<julm>
'k, je note
<v45h>
oh, intéressant, je note aussi
<symphorien[m]>
aussi, un détail pratique: je rentre dans mon shell, oh, non il y a 30 minutes de compilation parce que j'ai bougé mon channel, en attendant lorri me donne le dernier environnement en cache
<symphorien[m]>
bon comme vous êtes des gens à la pointe du progrès, vous utilisez plus de channels, mais vous voyez l'idée